« Introduction to loose »
Je devais être en dérnière année de collège, et étrangement ce jour là je n’avais pas envie d’aller en cours, je commençait par l’histoire. L’histoire, matière inutile, oui les seuls symboles qui ont marquer l’Allemagne sont Hitler et son génocide juif, ainsi que la rafle, et le mur de Berlin. Voila, je connaissait tout mon programme scolaire. Ma mère m’avait trainée jusque dans cette prison où je me sentais mal, ou je savais que je n’étais pas moi. Heureusement les uniformes n’étaient pas en vigueur ici, il n’aurais manquer que cela je pense. Bref, d’une manière ou d’une autre, cela est flou pour moi, ma mère m’avais déposée devant l’établissement en question, je tordais mes chevilles en grimaçant, lassée de venir ici. Je passait les hautes grilles en compagnie de mes compagnons de galère, et je ne voulais pas arriver a l’heure.
[…] Le son de la cloche avait retentis et je me baladais dans les couloirs, un air serein sur le visage, je frappais trois coups contre la porte de la salle d’histoire, cette dernière s’ouvris, le visage vieux et rabougris de Mrs. Hertz était tendu, comme si elle allais m’assomer avec son gros bouquin d’histoire géographie année de troisieme. Je la regadais blasée d’etre venue, regrettant mon lit.
Mrs.Hertz -- Mademoiselle Hendrick vous avez un mot d’excuse ?
Je la regardais haussant les épaules. Mrs.Hertz -- Je ne vous accepte pas dans ce cas.
Je faisait rouler mes yeux, soupirant et je ressortais de la salle tranquillement. Mrs.Hertz -- Ce n’est plus possible Mademoiselle Hendrick, je vais vous mettre en retenue tous les après midis et le samedi matin aussi, vous le faites exprès !
J’inspirais, la regardant, un léger sourire se dessinait sur mon visage. Tyron -- Bon ouais, salut.
Mrs.Hertz -- Donnez moi votre livret de liaison !
Tyron -- Ca s’appelle un carnet Madame.
Mrs.Hertz -- Restez a votre place !
Tyron -- Ah oui, et quand ai-je pris votre place ?
Mrs.Hertz -- Vous vous permettez de répondre !
Tyron -- C’est normal, vous radotez. Bon je peux aller m’asseoir maintenant ?
Mrs.Hertz -- Non, vous perturbez le cours !
Tyron -- N’importe quoi, vous m’avez pas acceptée, comment je peux perturber votre cours si je n’y suis pas !
Mrs.Hertz -- Justement, vous n’y participerez pas, vous le perturbez !
Je sais que ma réaction a été un peu excessive mais je n’avais pas pu m’en empêcher, les fenêtres étaient ouvretes non loin de son bureau et folle de colère j’avais attraper ses cours et je les avait lancés par la fenêtre, j’admet qu’après ça je suis sortie très rapidement de sa salle, oui j’ai même couru. Je sais que je suis allée dans la cours, et que le proviseur lui-même est venu me chercher. Je sais que j’ai eu d’énormes ennuis, et dire que la traduction du prénom de Mrs.Hertz c’est Madame
cœur. N’importe quoi.
« Once upon a time.. »
J’ai vu le jour a Hambourg, en Allemagne, un certain quatorze avril mille neuf cent quatre vingt onze, c’étais un jour de gelées matinales a ce qu’on m’a dis. J’étais un bébé très pâle mais très attendus, pour preuve je suis fille unique, mon père est un actionnaire qui a vécu en France, et ma mère était couturière de mode pour de grandes maisons allemandes. Mes parents ont eu beaucoup de mal a avoir un enfant, parce qu’ils étaient génétiquement incompatible, enfin, c’est pour dire que je suis ici maintenant, la médecine a fais des progrès dirons nous. J’ai grands en Allemagne, avec mon père, il travaillait a la bourse, et il avait négocier un contrat pour rester vivre en Allemagne avec maman et moi. Ils se disputaient souvent a cause de son travail qui les a emmenés au quatre coins du monde. A mes cinq ans, ma grands mère me pris en charge, juste une année mon père se faisait muté tout les trois mois un peu partout, et ma mère avait choisis de le suivre. A partir de cette période, j’ai commencer a être plus autonome, au début ça avait été dur, ma grand-mère maternelle ne savais plus quoi faire, j’étais chahuteuse, trois fois par semaine la maitresse de l’école l’appelais parce que je m’étais battue ou bien parce que j’avais couper les cheveux d’un camarade en classe. Vraiment mon enfance a été chaotique pour mes parents, et ma grand-mère. Je me rappelle que je m’amusais a parler français a mes camarades allemands, sachant qu’ils ne comprenaient rien a ce que je racontais, a la maison, quand papa et maman revinrent après une très longue et éprouvante - pour ma grand-mère - année passée chez ma grand-mère je retournais enfin a la maison.
« Pretty don’t you ever feel, like you’re less than fucking perfect ? »
Mon adolescence a été une période de ma vie plutôt agréable surtout quand elle a touché a sa fin, au collège j’étais une anarchiste, tout le temps fourrée chez le proviseur, et si je n’y étais pas c’est que j’avais sécher les cours. Avec mes parents nous nous disputions a propos de ca et j’ai été a plusieurs reprises privée de sortie, privée de télévision et j’en passe. Même s’ils savaient que ca ne marcherais pas, il me punissait. Je dirais que j’ai eu de la chance, car ils m’ont toujours soutenue et m’ont toujours fait confiance quelque sois mes choix, ma façon de faire, ou ma façon d’être. Je me rappelé qu’une fois nous étions au Park florale de Hambourg avec des amis et pour s’amuser ils avaient allumés un feu sauvage avec des branches d’arbres, il s’amusaient a jeter des déodorants dedans pour que la flamme grandisse, Carl, un ami est arrivé en courant et a crié «
Polizei !
Polizei ! » (Police ! Police) Et tous nous nous sommes dispersés le plus vite possible, je portais des potes a grandes semelles, ce soir là, mes parents durent obligés de venir me chercher au poste de police, parce que j’avais tenter de défendre deux amis qui s’étaient fait attraper et que j’avais commencer a râler. Pour ce coup là, ils m’en ont voulu quelques temps. C’est d’ailleurs a cette période là que j’ai commencer a fumer de la drogue, et a manger des petites pilules de plusieurs couleurs. Cela m’amusais, ca me cassais, ou bien, ca me faisait mourir de rire, et quand on est jeunes on ne se rend pas compte du mal que l’on s’inflige, en parlant de ca. A mes quatorze ans j’ai rencontré un garçon, il étais populaire, gentil, amusant et beau, naturellement il étais plus vieux que moi, trois ans plus vieux et il s’est amusé avec moi, moi, j’étais complètement et totalement amoureuse de lui, c’étais pour moi ma première vraie relation, mais ce dernier s’est joué de moi. J’étais incapable d’aller le voir pour le frapper, parce que je l’aimais. Mes bras on saignés, tous les soirs pendant plus de trois mois. Jusqu’au jour où mon père compris que j’allais mal, et c’est lui qui m’a aider, il avait mal pris le fait que je ne lui ai pas parler de cette histoire, mais moi-même j’en souffrais, et je savais que mes parents s’en moquerait alors je n’avais rien dis. Il m’avais emmener faire les boutiques, pour que nous puissions parler, il était plutôt inquiet et il savait que cela m’aiderais, alors j’ai acheter ce qui me plaisait, en parlant calmement de tous mes problèmes. Il s’est montré compréhensif, grondant qu’il fallait que je me tienne a l’école mal grès mon sal petit caractère.
« I‘m a free Bitch baby. »
Après ma dernière année de collège, mon père fut muté aux Etats unis. Mutation définitive lui a-t-on dis. Seulement, mon anglais étais médiocre, et a mon arrivée, beaucoup de gens de mon nouveau lycée ne se montraient pas tendre avec moi. Je crois que j’avais un style qui ne leur étais pas familier, pour eux j’étais une extra terrestre. Ce que j’ai très mal vécue, et au cour de la première année de lycée, tout mes après midi je les passais a danser, je voulais entrer dans l’équipe des pom-pom girls, seulement, je n’osais pas, mon anglais était très mauvais et ma mère m’avais offert une nouvelle guitare folk, alors je travaillait dessus, refusant de prendre des cours, n’osant pas avouer a mes parents que j’avais du mal avec cette langue, d’ailleurs aujourd’hui encore il me reste cet accent allemand. Mon niveau en guitare a très vite progresser cette année là, et mon niveau en danse et en chant aussi. Les cours ici étaient mieux expliquer, du moins, je pense que c’est moi qui ai du me calmer, mais bien évidemment seulement ma première année, je me familiarisais avec mon nouvel environnement, mais étrangement, ici cela ne me dérangeais pas de continuer des études, on m’avais même mis sur la voie de la photographie, ce qui me plu tout de suite, les professeurs étaient plus cool et plus gentils, ils m’avaient même parler de l’université de Yale. Avant même d’avoir fini ma deuxième année au lycée, j’en avais parler a mes parents qui s’étaient arrangés pour se documenter et s’arranger pour envoyer mon dossier qui était meilleur qu’avant. Que m’arrivera-t-il là bas ? Je pris pour pouvoir m’integrer normalement, j’ai presque perdu mon accent débile, mais le démon qui sommeil en moi se réveille doucement, je dois me méfier et apprendre a me contrôler.